Voyons voir.. qu'est-ce que j'ai dans ma musette et que j'ai abandonné...En général, c'est des cadeaux qui ont tapé à côté:
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La geste des chevaliers dragons: on m'avait offert le 4 que j'avais trouvé "pas mal" sur le coup, j'ai lu les 3 autres à la bibliothèque, et outre que je ne suis pas le public visé pour les filles à gros seins qui se battent en bikini contre des monstres (oui, je schématise, en même temps, je n'ai pas été plus marquée que ça par les scénarii), j'ai aussi un peu beaucoup de mal avec le principe de changer de dessinateurs à chaque volume ou presque. L'idée est séduisante en théorie, mais en pratique, je ne retrouve pas la régularité du dessin qui peut me convaincre de suivre une série. En même temps, je ne suis pas sure qu'elle puisse rentrer dans le cadre d'un chef d'oeuvre, amis je les vois régulièrement à l'honneur en vitrine, donc, c'est que pas mal de gens doivent aimer
-même chose pour
Krän le barbare : mais qu'est-ce qui a pris a mes copines de m'offrir un truc pareil? Je devine que la plupart des références sont des trucs de roliste, ce que je ne suis pas, du coup, j'ai l'impression d'assister à des private jokes entre initiés. Mais ça ne me dérange pas de passer pour une nouille, vu que lorsque je pige l'humour je trouve ça consternant
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Requiem et ses variantes, et pour les mêmes raisons
les chroniques de la lune noire , et dans une moindre mesure
les méta-barons: ( décidément vous allez croire que j'ai une dent -haha, quel humour- contre le fantastique et la SF, mais non, normalement j'adore ça). Peu lisible, du texte partout, qui déborde parfois, on ne sais plus où on se trouve et ça me saoule vite.
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Le scorpion : je ne saurais pas trop dire pourquoi, les 2 premiers volumes étaient prometteurs, mais j'ai décroché assez vite, ça m'a lassée, tout simplement.
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Animal Z .. peut on dire du mal de Bilal? et pourtant oui. J'adore son style graphique, mais je trouve dommage d'encenser systématiquement ce qu'il fait parce que c'est Bilal. Simplement, je n'attendais rien de ce nouvel opus, qui confirme ce que je pensais depuis quelques temps: Bilal a besoin d'un scénariste pour que son joli style bleuté ne tourne pas à vide. Animal'z n'est pas le pire, c'est juste qu'une fois de plus j'ai regretté le temps ou il bossait avec Christin par exemple
- La plupart de ce qu'à fait Joann Sfar: j'ai essayé le chat du Rabbin, Grand Vampire, le Bestiaire amoureux: rien a faire. Outre que je n'aime pas le style graphique, le côté " faussement naïf gentil tout plein" que tout le monde semble aimer "parce que c'est à la mode et on passe pour un gland à dire qu'on aime pas", ça me sort par les yeux
Et au niveau manga
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Nana: peut être que je l'ai seulement lu au mauvais moment, celui ou une copine me harcelait avec ses problèmes sentimentaux et ou je n'avais pas envie de retrouver ça en lecture. Mais non! j'ai essayé de lui donner une 2° chance, et non, définitivement non. La nunucherie d'une des 2 héroïnes me sort par les yeux, leurs histoires m'indiffèrent, je n'arrive pas à comprendre la raison de son succès
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Le nouvel angyo Onshi : Pourtant graphiquement sympa , l'idée d'un héros dont la survie dépend d'une nana aurait du me plaire. Mais non, je n'ai rien spécialement à reprocher, j'ai juste pas accroché.
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Tsubasa Reservoir Chronicles et
Fullmetal Alchemist: 2 titres qui me plaisaient bien, mais qui on tendance à traîner en longueur, surtout Tsubasa:, arrivée au volume 18 j'ai jeté l'éponge, même si on m'a balancé des " ha tu a eu tort, à partir du volume 20 ça devient vraiment bien".. Globalement, j'ai du mal avec les séries qui trainent X volumes sans grand intérêt, mais " ça devient génial après X volumes". Argument irrecevable pour moi
même chose d'ailleurs pour
Dragon Ball ( faudrait que je le relise un peu pour mieux cerner, je l'ai lu il y a une quinzaine d'années). Dans mon souvenir, le début était bien, le premier Arc avec Goku jeune était sympa, mais la suite partait trop en sucette à mon goût. Trop long, trop de volumes, j'ai plié..
voila à peu près ce que je peux citer de mémoire. Après j'ai lu des bouses à la bibliothèque, mais la plupart du temps, trop confidentielles pour rentrer dans le sujet.